2. Paris, Éditions Ouvrières, 1950 ; in-8°, 380 p. Précieux Index alphabétique des noms cités.

3. A l'usage, sans doute, certaines taches ne manqueront pas d'apparaître. Sur Burke (p. 7), la biographie la meilleure — et la plus récente — est celle de Sir Phil. Magnus (1939). Pourquoi ne pas préciser à propos de Jean Vial (L'invention en métallurgie), p. 8, qu'il s'agit d'un article de la i?epue d'Histoire économique et sociale (1948-49) ? L'obligation du livret ouvrier (1803) apparaît à deux reprises dans la chronologie (p. 2 et 30) ; de même que les Actes du Congrès Historique du Centenaire de la Révolution de 1848 (p. 67-68). Des recueils départementaux parus à cette occasion, pourquoi ne signaler que celui relatif à l'Isère (p. 69)? Est omis le Manuel pratique pour l'étude de la Révolution Française de P. Caron (nouv. édit., 1947). Le partage des biens communaux, attribué à G. Bourgin (1908), doit faire double emploi avec sa publication de textes signalée ensuite (p. 10-11). Alors que l'on signale la plupart des volumes de la Collection Peuples et Civilisations, on omet le t. XV, de G. Weill (p. 66). — Du célèbre Tableau… (au titre incomplet) de Villermé, 1840, on aurait pu signaler une réédition récente, par M. Deslandres et A. Michelin (1938), puisqu'on mentionne J. Aynard (et non Aymard), Justice ou Charité (le titre est également incomplet), p. 43 et 70. P. 31, il faut lire Fodéré et non Fodère ; à son sujet, cf. Lucien-Antoine Bellieh, F.-E. Fodérê (Lyon, 1930). Enfin, puisqu'il est fait état des travaux de Simiand et Labrousse, pourquoi ne pas citer aussi les Essais de Chabert sur les prix et les revenus de 1798 à 1820 ?