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La vie rurale : problèmes de jadis et de naguère

Published online by Cambridge University Press:  25 October 2017

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Traitant d'histoire ou d'économie rurale, voici, sur notre table, tout un lot de livres ou de mémoires. Ce sont, d'abord; deux ouvrages, qui, dans une tranche donnée de l'espace et du temps, s'appliquent à décrire, d'ensemble, les multiples aspects de la vie paysanne. MIIe Yvonne Bezard a choisi, pour cadre chronologique, la période de crise et de reconstruction qui va de 1450 environ aux alentours de 1560, pour cadre géographique, plus artificiellement, une circonscription ecclésiastique : l'archidiaconé de Josas, au Sud de Paris; n'eût-il pas mieux valu, à l'aide de critères tirés de l'économie, essayer de se faire à soi-même sa région ? Le travail est une thèse de Sor, bonne, solidement documentée, et, abstraction faite de quelques énumérations un peu sèches, agréablement écrite.

Type
Du Passé au Présent : A Travers Livres et Revues
Copyright
Copyright © Les Éditions de l'EHESS 1930

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References

page 96 note 1. La vie rurale dans le Sud de la région parisienne de 1450 à 1560. Paris, Firmin Didot, 1929 ; in-8°, 382 p., 3 pi., 1 carte. Une remarque de forme : les noms de lieux sont identifiés en note, la première fois qu'ils apparaissent ; la bonne vieille méthode qui consiste à fournir seulement à l'index les éléments d'identification nécessaire, et à les fournir alors, d'un coup, pour tous les passages où le nom figure, me semble plus commode ; elle était ici d'autant plus aisée à appliquer que Mlle Bezard a pris la peine, Infiniment louable, de dresser un index, à la fois topographique, onomastique et — trait rare et précieux I — par matières.

page 96 note 2. Paysans normands au XVIIIe siècle. T. I, 3e éd. : La vie rurale ; t. II, lre éd. : La communauté ; la paroisse. Rouen, Lestringant, 1929, 2 vol. ; in-8°, 155 et 458 p. En dehora du cadre propre de cette revue, signalons, dans l'ouvrage de Mr Leroy, quelques renseignements utiles sur la vie intellectuelle : écoles, bibliothèques de curés surtout.

page 97 note 1. Revue de Synthèse historique, t. XLI, 1926, p. 91 et suiv. ; t. XLIII, 1927, p. 87 et suiv.

page 97 note 2. Leroy, ouvr. cité, t. Il, p. 381.

page 98 note 1. Ancicnt Epsom : the cemmon fiilds and ancieni roads. Sutton (Surrey), W. Pile, s. d. ; in-12, 74 p., 11 pi., 3 cartes. Noter une observation très juste sur la variabilité de la terminologie rurale : les différents groupes de parcelles — nous dirions, en France, « chantiers » ou « climats »— entre lesquels se répartissait l'ancien terroir, portaient, à Epsom, le nom classique de shots ; dans les paroisses environnantes, par contre, cette appellation est tout à fait inconnue. Bons renseignements, aussi, sur les routes et chemins.

page 98 note 2. The history of Luton and Us hamlets : beinrj a history of the old parish and manor cf Luton in Bedfcrdshire. Newport (Wight), The county press, 1928; in-8°, xxxi-280 p., 68 pi., fig. et cartes, 15 fh. 11 ne s'agit, pour l'instant, que d'un premier volume, paru, après la mort de l'auteur, par les soins pieux de ses amis ; il s'arrête aux années 1550 à 1560. D'intéressantes données sur les trouvailles archéologiques mettent en lumière, une fois de plus, la continuité de l'établissement humain. On remarquera la mention, dans unecharte de la fin du XIIe siècle (citée p. 85, sans date précise ni référence), du temps où, au marché de Luton, on vendait des hommes.

page 98 note 3. Le Haut-Dauphiné au moyen âge. Paris, 1926 ; — L'industrie du fer dans la région d'Allevard. Grrenoble, 1926 (ces deux ouvrages thèses de doctorat de la Faculté des Lettres de Paris) ; — Sisteron au début du XVIe siècle, d'après un cadastre dans Annaes de Géographie, 1928 ; — Les routes du Dauphinê et de la Provence sous l'influence du séjour des vapes à Avignon dans Annales, t. I, 1929, p. 183 et suiv.

page 98 note 4. La vallée de l'Avance au moyen âge XIIIe-XVIe siècles). Grap, Louis Jean, 1928 ; 3n-8°, 42 p. (extrait du Bull, de la Société d'Études des Hautes-Alpes, 3e trimestre, 1928). Sur le rôe de la vallée d'Avance comme passage, voir Annales, et soc. 1.1, 1929, p. 186).

page 99 note 1. C'est, je pense, par suite d'une faute d'impression — non rectifiée à l'erratum — que MIIe Bezard écrit (p. 144) : « Un métayer promet de « mettre chascun an le tiers en blé et le tiersen mais ou autremensetle tiers enjacnère ». Il faut lire, naturellement, «en mars » (céréales semées au printemps). Même p., à propos des assolements, Mue Bezard paraît croire que le chanvre figurait dans la rotation triennale ; c'est probablement une erreur ; les cbenevièxes étaient, à l'ordinaire, en dehors des soles.

page 100 note 1. Le livre porte 1247. Pas de rectification, ici non plus, à l'erratum. Je suppose : 1547.

page 101 note 1. Un essai de culture exotique, sous l'ancien régime : la « peste du riz » de Thiers ( 1741) . Paris, Rivière, 1928 ; in-8°, 74 p. (extrait de la Revue d'Histoire économique et sociale).

page 101 note 2. Voir, notamment, L. Brière, La Société d'agriculture, sciences et arts de la Sarthe dans Revue historique et archéologique du Maine, t. XXXV (1894) ; — R. Triger, Correspondance de Necker avec le Bureau d'agriculture du Mans au sujet des élections aux Étals Généraux dans Bulletin de la Société d'agriculture… de la Sarthe, t. XXXII (1889-1890) ; — Gentil, A., Notes sur la Société des arts du Mans, ibid., t. XLV (1915-1916).Google Scholar

page 102 note 1. Notice sur le Bureau d'agriculture du Mans dans Bulletin de la Société d'agriculture, sciences et arts de la Sarthe, t. I I (1927-1928), p. 260-286.

page 102 note 2. La Société royale d'agriculture de la Généralité d'Orléans (1762-1789) dana Mémtires de la Société d'agriculture, sciences, belles-lettres et arts d'Orléans, 5e série, t . XXI, 1926, p. 1-126.

page 102 note 3. Aroh. du Loiret, D 710, fol. 46.

page 102 note 4. Jethro Tull and the « New Husbandry » of the eighieenth century dans The Economie History Review, t. I I , 1929, p. 41-60.

page 103 note 1. L'agriculture et les forêts lorraines. Lear rôle dans le peuplement et lame de la région, leur situation au tend main de la Révolution, d'après les Mémoires statistiques d«s Préfets de,l'an IX. Nancy, Berger-Levrault, 1928 ; in-8°, 96 p. (extrait des Mémoires del'Académie de Stanislas, 1926-1928L Voir déjà, Ûu même auteur, La Lorraine économique au hndemain de la Révolution, Nancy, 1924.

page 104 note 1. Office Régional Agricole DU Midi. Office Départemental Agricole DE L'Ardeche, VAgriculture du ViDaraîS.Largentière, ElieMazel, 1927 ; in-8°, VIII, 288 p. On remarquera que le mot de Vivarais désigne ici, en réalité, le département del'Ardèche. Le cadre départemental est bien vivant ; mais on aime à lui donner un nom qui le rattache à un plus lointain passé. P. 35 et suiv., une bonne étude, encore qu'un peu trop brève, sur 1’ « é t a t de la propriété » et le « mode d'exploitation du sol » : depuis la fin du xix8 siècle, dans l'ensemble du département, la part du faire-valoir direct est allée en augmentant parce que beaucoup d'agriculteurs ont acheté !e bien qu'ils tenaient à ferme ; la crise de l'après-guerre notamment a, à la fois, nui au propriétaire qui tirait ses revenus de fermages et favorisé l'exploitant : d'où, des premiers aux seconds, un assez grand nombre de ventes. 2. Landbauzonn landliche Entvol mng und landwirtschafiliche Einwandrung in France ch, mit b sonderer Beruchsichligung der schv:eizerischen Ansiedlung in Sûdwestfranhreich. Berne, Kurtimerly et Frey, 1927; in-4°, 137 p., 37 cartes, graphiques et dlanches, 12 fr. (Btiaâge zur Agrargcographie, hgg. v. H. Bernhard, Nr. 3).

page 104 note 1. Si Mr Bernhard avait eu l'idée de consulter le beau livre que Mr Andhé Siegfried a intitulé Essai d'une géographie politique de la France de l'Ouest, il y eût trouvé, sur la prépondérance du faire-valoir indirect dans quelques départements occidentaux, les éléments d'une explication plus satisfaisante que celle qu'il a lui-même indiquée (p. 27) ; certainement la survivance, dans ces contrées, de la propriété nobiliaire est pour beaucoup dans le phénomène. Par ailleurs, comment rendre compte du tenace métayage méridional, sans mettre en lumière les menus services et menus carreaux de toute sorte, longtemps prisés si haut par les propriétaires, — disons plus : les liens de dépendance quasi seigneuriaux qui unissaient et parfois unissent encore au bourgeois de petite ville son métayer ? Quelques lacunes bibliographiques : j'en ai déjà noté une, à propos de l'ouvrage de Mr Siegfried ; parmi les utiles travaux de Mr Auge Laribé, un seul est cité, et encore, une fois au moins sur les deux mentions dont il est l'objet, d'après un autre auteur ; plusieurs des monographies régionales de l'école géographique sont passées sous silence et celles même dont le titre parait au bas des pages n'ont visiblement pas été utilisées à plein. Notre littérature économique n'est pas très riche,— pas assez. Mais elle est moins pauvre, tout de même, que, parfois, on ne le croit à l'étranger, faute de savoir la découvrir là où elle est.

page 105 note 2. Je crois rendre service en donnant ci-dessous la liste de ces cartes : répartition des terres incultes (1923); pluies; population professionnellement occupée à l'agriculture (1921) ; population agricole (1882) ; faire-valoir direct (1921 ) ; fermage (1921 ; métayage (1921) ; terresarables(1923) ; prairies et pâturages(1923) ; forêts (1923) ; froment (1923) ; avoine (1923) ; seigle (1923) ; maïs (19211 ; pommes de terre (1923) ; betterave sucrière (1921) ; vigne (1923) ; troupeau bovin (1923) ; ovins (1923) ; porcs (1923) ; rendement du froment à l'ha. (1S21-1924) ; rendement du foin à l'ha. (1921-1924) ; rapport en bois des forêts (1908) ; régions agricoles; étrangers (1921) : étrangers (1926) ; densité de la population en 1836 et en 1921 ; dépopulation (1831-1921); taux des naissances (1909-1913 et 1921-1925).

page 106 note 1. Beitràge zur Siedelwngs- und Wirtschaftfgeschichte des Odenwaldcs. [Michelstadt], ctez l'auteur, ,[1928] ; 1 brochure, 63 p. et 1 atlas de 93 pi.

page 106 note 2. Die Arbeilsweise der Siedlungsgéographie in ihrer Anwendungaufdas Franhenland dans Zeitschrift lur bayerische Landes geschichte, 1.1,1928, p. 316-357. Sans prétendre donner iei, tout à fait hors de propos, une bibliographie complètede l'oeuvre de Mr Gradmann, j e crois utile de rappeler ses travaux essentiels, ceux qui doivent être familiers à tous les historiens que préoccupe ï'êtude de l'occupation du sol : Dos làndliche Sii dlungswcsen des Kânigreichs Wurltemberg, 1913 (Forschungen zur âeutschen Landes- und Voltsskunde,XXI, 1) : comparez déjà en 1910, au t. LVI des Petermann's Mitfeilungen, Die lândlichen Siedungsformen Wûn.cmbergs ;Die stâdiischen Siedlungendes KônigreichsWûrttemberg, 1914 (Forschungen, XXI, 2), avec, en conclusion, un exposé de méthode général, relatif également aux établissements ruraux ; — Dos mitteleuropâisches Landschafisbild nach seiner geschichtlischen Entwiclung dans Geographische Zeitschrift, t. VII, 1901 ; — Beziehungen zvischen Pflanzengeographie und Siedlungsgeschichte, ibid., t. XII, 1906 ; — Die postglazialen Klimaschwânhungen Mittehuropas, ibid., t. XXX, 1924. — Les notes du mémoire dont on trouvera ci-dessus le compte rendu indiquent un grand nombre d'ouvrages ou articles de détail consacrés, en Allemagne, à l'histoire des établissements humains. Sur l'important travail de Maktint, touchant la West.phalie, voir Revue Historique, t. CLVIII, 1928, p. 138.

page 106 note 3. Le problème de la colonisation franque et du régime agraire en Belgique. Bruxelles, 1926 (Académie royale de Belgique, Classe des Lettres, Mémoires, Collection in-4°, Deuxième série, t. IX) ; cf. mon compte rendu détaillé, Revue de Synthèse historique, t. XLII (1926). — Sur le rôle qu'est appelée à jouer l'archéologie préhistorique dans l'étude de l'occupation du sol et des origines rurales, voir aussi, ici-même, l'article d'Albert Grenier, p. 26.

page 108 note 1. Reste naturellement à savoir — si possible — pour quelles raisons les occupants de steppes découvertes adoptèrent la forme de terroir qui caractérise les Gev,anndôrfer et que devaient plus tard rejeter les défricheurs des forêts (en France, d'ailleurs, elle ne paraît pas toujours exclue des défrichements, au moins les plus anciens). Mais, dans le présent mémoire, M'Gradmann ne fait qu'effleurer ce problème, trop grave et trop délicat pour pouvoir être discuté ici, et que lui-même ne semble pas avoir encore achevé d'approfondir.

page 108 note 2. Inutile, je pense, de rappeler, qu'on la trouve dans le Tableau de la Géographie de la France (Lavisse, Histoire de France, 1.1, 1), en face de la p. 54.

page 108 note 3. P. 344, n. 34.

page 109 note 1. Voir, par exemple, dans la Bibliographie alsacienne, t. 1, 1918-1921, les opinions, entre toutes, autorisées, des spécialistes français de l'Alsace : Chr. Pfister (p. 113 et sulv.), A. Grenier (p. 94 et suiv.), Ernest Henri Lévy (p. 226 et suiv.).

page 109 note 2. Contribution à l'étude du peuplement en Slovaquie : communes et « kopanics » dans La Géographie, 1929, p. 49-67, avec 7 gravures et plans dans le texte.

page 110 note 1. La population du dèpartepient de la Meuse, depuis le début du XIXe siècle. Étude de géographie humaine. Nancy, Berger-Levrault, 1929 ; in-8°, 93 p., 7 pi., 12 Ir. (Annales de l'Est, 42e et 43e années).

page 111 note 1. Même indication, déjà, dans Hottenger, ouvr. cité, p. 7.

page 111 note 2. Parmi les phénomènes d'habitat, i) en est un qui demanderait une étude approfondie : ce sont les déplacements anciens des villages. A Epsom, comme le relate (p. 7-8) Mr White dans l'ouvrage cité plus haut, p. 9H, le village a changé de site au XVIIe siècle, l'église paroissiale restant, cependant, à sa place primitive. Malheureusement le fait est noté, plutôt qu'expliqué.

page 113 note 1. Bruxelles, 1912 (Académie royale de Belgique. Commission royale d'Histoire).

page 113 note 2. Comme point de comparaison moderne, Mlle Bezard a choisi les recensements de 1921 et 1926. Lorsqu'il s'agit de la banlieue parisienne, H est prudent d'avoir recours — ainsi que l'a (ait M’ F. Lot dans ses études sur le Polyptyque d'Irminon (Le Moyen Age, 1921) — à des éléments pris plus haut dans le xixe siècle.

page 113 note 3. Voir Hottenger, ouvr. cité, p. 4. La même note se retrouve dans des rapports, contemporains ou à peu près, relatifs à d'autres régions. Référence du livre de Mr Schmitt, voir ci-dessus p. 110.

page 114 note 1. Voir ci-dessus, p. 104.

page 114 note 2. Le mémoire de Mr Jean Réowê sur la Vie économique et les classes sociales en Vivarais au lendemain de la guerre de Cent Ans, Aubenas, Habauzit, 1926, in-8°, 28 p., donne une description, précise et vivante, des conditions de l'économie vivaroise à cette date, mais ne traite pas spécialement de la crise étudiée par M110 Bezard ; peut-être, d'ailleurs, dans ce pays pauvre et écarté, fut-elle moins sensible que, par exemple, dans l'Ile-de- France.

page 115 note 1. Dans son ouvrage fondamental sur Les populations de la ville et de la campagnt dijonnaises au XVIIe siècle, Paris, 1922.

page 116 note 1. Comparer Annales d'Histoire économique, t. I, 1929, p. 136, à propos de la Côtière de Dombes. Il convient d'ailleurs, soit dit en passant, de ne pas exagérer la médiocrité des charges que les droits seigneuriaux faisaient peser sur les paysans, à la fin de l'ancien régime, ou de négliger leur importance dans l'économie, en général. Mr Hottenger (ouvr. cité, p. 33) observe que l'aisance, dans les campagnes,était plus grande en l'an IX qu'avant 1789 ; il semble en voir la cause dans « l'accession de la masse à la propriété » (vente des biens nationaux, partage des communaux). D'accord. Mais n'oublions pas l'abolition du régime seigneurial, qui parait avoir été spécialement dur en Lorraine, où une Cour souveraine très puissante servit fidèlement les intérêts de ce qu'on a appelé la « réaction féodale ».

page 117 note 1. De Véquivalence des anciennes mesures et Remarques diverses sur les poids et mesures du moyen âge dans Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, t. LXXIV, 1913 etLX XX. 1919.

page 117 note 2. Arch. Nat.,L. 898, n° 60, à dater, par comparaison avec le n° 62, de 1196. Le bâton est aujourd'hui disparu, mais il existait encore lorsque Jean de Thoulouze (mort en 1659) écrivit l'histoire de l'abbaye de Saint-Victor de Paris : voir Bibl. Nat. ms. lat. 14 639, fol. 601 v° et 606 V. Les bois vendus étaient à Champrosay (forêt de Sénart) ; la perche employée équivalait à 19 pieds.

page 118 note 1. “Voir Paul Rave AU, L'agriculture et les classes pat/sannes, la transformation de la propriété dans le Haut-Poitou au XVIe siècle, 1926, notamment le tableau de la p. 18 ; Mr Raveau note, entre les divers boisseaux, « une énorme différence » (p. 19).

page 119 note 1. Je dois, honnêtement, avouer une inquiétude. J'ai été frappé par la faiblesse relative du total des ventes de terres recensée». Toutes celles que fournissaient les textes ontelles vraiment été prises en fiches ? On ne le voit pas clairement. Mais sans doute est-ce le cas