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Some Social Consequences of Nineteenth Century Missionary Activity among the South African Bantu

Published online by Cambridge University Press:  21 August 2012

Extract

The missionary in South Africa found himself, from the earliest years of the 19th century, in an equivocal position, and the role he actually played was the result of the varied and sometimes conflicting hopes and expectations entertained by the Bantu people, by the white settlers and, not least, by the missionary himself. Though he was at this period usually racially tolerant, the missionary was nevertheless out of sympathy with many aspects of traditional Bantu life. There were in consequence certain social changes which he regarded as a necessary preliminary to the establishment of Christianity on a permanent basis. Many of the modifications in Bantu living which the missionary favoured encouraged the gradual transformation of the Bantu population into a reservoir of labour for the growing European economy; while rudimentary education, European crafts, and Christian (or Protestant) individualism, which the missionary taught, contributed to the same end. For this reason, and because of their pacifying influence upon tribes antagonistic to the Europeans, the missionaries enjoyed the support of colonists urgently in need of an amenable labour force. It was widely believed in the early years of the 19th century that only among those Africans who were under missionary influence was there to be found a strong desire to adopt western habits; and colonists who, for other reasons, were not friendly to the missions, freely admitted that personal safety during an armed raid by Bantu tribesmen could be obtained only in refuge at a mission station.

Résumé

SUITES SOCIALES DES ACTIVITÉS MISSIONNAIRES AU COURS DU 19ème SIÈCLE PARMI LES BANTOUS DE L'AFRIQUE DU SUD

Au début du 19ème siècle, les missionnaires chrétiens en Afrique du Sud, tout en faisant preuve de tolérance au point de vue racial, manquaient de sympathie pour certains aspects de la vie bantoue traditionnelle. Bien des modifications que les missionnaires estimaient comme préliminaires essentiels de l'établissement de la chrétienté, et la plus grande partie de l'instruction rudimentaire donnée par les missions, favorisaient la transformation graduelle de la population bantoue en une réserve de main-d'œuvre pour l'économie européenne croissante. Pour cette raison, et par suite de leur influence pacificatrice sur les tribus hostiles aux Européens, les missionnaires gagnaient le soutien des colons. Cependant, pour ce qui était des rapports raciaux, le conflit entre les missionnaires et les colons devait se prolonger, car les immigrants, surtout les Hollandais, estimaient qu'aucune instruction n'était capable d'élever les Bantous à un niveau d'égalité avec eux-mêmes. Le peuple bantou accueillait les missionnaires en tant qu'agents diplomatiques utiles entre eux-mêmes et les Européens, et bien qu'un rôle semblable fût étranger à leurs buts religieux, de nombreux missionnaires l'acceptaient comme un moyen d'établir des rapports confiants et favorablement disposés avec ceux qu'ils désiraient convertir. Les missionnaires étaient rarement molestés, et finalement il était devenu une question de prestige pour une tribu de s'attacher un missionnaire, en dépit du fait que l'enseignement chrétien était considéré à la fois avec amusement et une curiosité circonspecte. Il n'existait certainement aucune compréhension des suites sociales et économiques qui devaient découler d'un tel enseignement au fur et à mesure qu'il devenait plus efficace. Dès que les Bantous se rendaient compte de ces conséquences, la complaisance se changeait souvent en opposition violente. Les missionnaires poursuivaient leur œuvre par l'intermédiaire de prédicateurs itinérants et de missions établies en permanence, mais ces dernières étaient devenues finalement les plus importantes. L'enseignement religieux était associé à, ou précédé par, une instruction dans des métiers occidentaux, et à cette fin les élèves étaient rassemblés aux missions et étaient ainsi écartés totalement, ou partiellement, de leur ambiance tribale. L'absence de ces convertis désorganisait le système tribal de droits et de devoirs réciproques soigneusement équilibré, et, par conséquent, les missions s'avéraient une force puissante de bouleversement et de transformation. Elles devenaient rapidement un lieu de refuge pour ceux qui avaient violé la loi de la tribu, et en tant que propriétaire de terrains qu'elles mettaient à la disposition des convertis, les missions exerçaient un attrait puissant. Il semble que les chefs et les headmen étaient moins attirés vers la nouvelle religion que les gens ordinaires, principalement, sans doute, parce qu'ils avaient un intérêt personnel à voir persister les institutions traditionnelles dans l'administration desquelles ils jouaient un rôle important. Ceux qui profitaient des avantages économiques offerts par les missions étaient prêts, semble-t-il, à accepter certaines modifications dans leur mode d'existence, bien qu'ils revinssent souvent à leurs habitudes traditionnelles. Les femmes étaient plus opposées aux changements que les hommes, car elles craignaient de perdre la protection qu'elles tiraient du lobola (paiement du mariage) et du système de mariage polygyne qui, tous les deux, rencontraient l'opposition des missionnaires. Les hommes bantous n'étaient pas partisans non plus de la conversion de leurs femmes, car ils croyaient que la chrétienté favorisait l'immoralité. Au début, par conséquent, les congrégations consistaient presque uniquement d'hommes et de jeunes gens, mais vers la fin du siècle, la situation s'est trouvée renversée et les femmes étaient partout en majorité. Ceci était dû au fait que les changements sociaux et économiques, ayant comme résultat le système de main-d'œuvre migratoire et le déplacement des hommes vers les villes, provoquaient une déchéance rapide du mariage et de la vie familiale traditionnels, de sorte que les femmes bantoues recherchaient une protection pour elles-mêmes et pour leurs enfants dans la philosophie nouvelle et les injonctions morales de la chrétienté. L'opposition à l'enseignement chrétien était devenu générale lorsque les chefs commençaient à se douter que l'effort missionnaire avait pour but de miner leur autorité et que les missionnaires agissaient comme informateurs pour le gouvernement. Les convertis à la chrétienté étaient souvent ostracises et persécutés, et l'on croyait généralement que la conversion amenait l'infortune à la famille et à la tribu. Par conséquent, les chrétiens trouvaient parfois qu'il était plus facile de vivre séparément, et ceci divisait la tribu encore davantage. Cependant, l'influence des missionnaires ne s'étendait que rarement au delà de la région immédiate de leur mission, le manque de succès de leurs efforts étant dû à leur désapprobation des coutumes de lobola et de polygynie que les Bantous étaient peu disposés à abandonner. La monogamie représentait un sacrifice considérable pour un homme qui n'avait aucun enfant par sa première femme, car une grande importance était attachée à la continuation de la ligne de la famille. Pour les femmes converties, la situation était renversée et il y avait des exemples de femmes qui quittaient leurs maris en prenant leurs enfants avec elles, ou paradoxalement, s'en allaient vers les villes oú elles vivaient en adultère ou devenaient des prostituées. L'opposition des missionnaires au lobola émanait vraisemblablement d'une conception erronée de sa signification, car il ne s'agissait pas, comme ils le supposaient, d'une opération qui entraînait l'achat d'un bien, mais d'un contrat qui témoignait de la bonne foi du mari et de sa famille et avait tendance à rendre le mariage plus stable. Par suite de l'attitude des missionnaires et d'autres changements économiques et sociaux les paiements de mariage commençaient à être abandonnés vers le milieu du 19ème siècle, et, par conséquent, la réciprocité au sein des groupes de parenté diminuait. Le mariage chrétien ne favorisait pas un moyen alternatif efficace de contrôle social, car en dépit des pratiques apparentes, la promiscuité devenait un problème si important parmi les convertis qu'il s'avérait nécessaire d'adopter deux formes de mariage, l'une à l'église pour les convertis jouissant d'une ' bonne ' réputation, et l'autre qui n'était guère différente d'un mariage civil. Les missionnaires désapprouvaient également la division traditionnelle du travail parmi les sexes qui rendait les femmes responsables de la plupart des travaux agricoles et domestiques. L'introduction de la houe en fer et de la charrue tirée par des bœufs contribuait beaucoup à augmenter la participation des hommes dans les travaux agricoles, mais cette participation était associée avec une cessation graduelle de l'exécution des rites traditionnels de l'initiation des hommes, de sorte que les convertis sont demeurés des adolescents sociaux aux yeux de la tribu et que les non-initiés qui participaient activement dans les œuvres de l'église rencontraient beaucoup d'opposition dans leurs activités. L'effet des activités des missions sur la famille était peut-être le plus significatif, provoquant une division entre parents et enfants et entre maris et femmes lorsque les uns étaient convertis et les autres ne l'étaient pas. L'évolution de l'économie industrielle européenne et l'entrée du peuple bantou dans cette économie étaient probablement responsables de beaucoup de désordre sociologique, mais le cas de l'influence des missions est remarquable parce que les missionnaires connaissaient les modifications sociales qu'ils désiraient et travaillaient délibérément à leur réalisation. Étant donné qu'ils n'avaient envisagé guère plus que la conversion en masse du peuple bantou à la chrétienté, ainsi que la suppression de certaines coutumes qu'ils détestaient, les missionnaires luttaient avec un succès qui n'était que partiel pour la réalisation des changements religieux et sociaux qu'ils désiraient et ils regardaient avec atterrement les répercussions de leur intervention, qu'ils n'avaient pas prévues, et qu'ils étaient incapables de contrôler.

Type
Research Article
Copyright
Copyright © International African Institute 1957

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References

page 160 note 1 See, for example, the comments of William Shaw, speaking of the Wesleyan mission in 1830: ‘… the greater the influence Christianity had obtained over any of their minds, the greater was their avidity to adopt the habits of civilised life’. Select Committee on Aborigines Report, in Parliamentary Papers (Great Britain), 1836, vii (538), p. 124.

page 160 note 2 Ibid., p. 33.

page 160 note 3 See the letter addressed to Gardiner, A. J. by a group of Natal colonists, and quoted by him in A Journey to the Zoolu Country, London, 1836, p. 77.Google Scholar

page 161 note 1 Agar-Hamilton, J. A. I., The Native Policy of the Voortrekkers, 1836–1858, Cape Town, 1928, pp. 1819.Google Scholar

page 161 note 2 Philip, J., Researches in South Africa, London, 1828, ii, p. 227.Google Scholar

page 161 note 3 For example, the standard form of indenture for African apprentices issued in 1848 specified that an apprentice should be instructed in Christianity, encouraged to become baptized and to attend church: Correspondence regarding the State of the Tribes, Kaffir, Parliamentary Papers, 1849, xxxvi (1056), p. 399.Google Scholar

page 161 note 4 Philip, J., op. cit., p. 195.Google Scholar

page 162 note 1 A report by the Rev. Allison, James in The Cape of Good Hope Christian Magazine, vii, October 1846.Google Scholar

page 162 note 2 Loc. cit.

page 162 note 3 Gardiner, A. J., op. cit., pp. 240–1Google Scholar; Casalis, J. E., The Basuios, London, 1861, pp. 89.Google Scholar

page 163 note 1 London Missionary Society Transactions, ii, 1804, p. 164.

page 163 note 2 Periodical Accounts relating to the Missions of the Church of the United Brethren, v, 1811, p. 104.

page 163 note 3 Ibid., p. 106.

page 163 note 4 Ibid., xii, p. 285; also, Mrs Wilkinson, ,, A Lady's Life and Travels in Zululand and the Transvaal, London, 1882, p. 146.Google Scholar

page 163 note 5 There are many reports of the strongly emotional reaction of converts to Christian teaching. This was encouraged by the ‘experience meetings’ popular at mission stations in the first thirty years of the century. Their purpose was to provide an opportunity for the people to describe their emotional condition, while the missionary encouraged, warned, and exhorted. It was not unknown for ‘excesses’ to occur at these meetings. See Clinton, D. K., The South African Melting Pot, London, 1937, p. 37.Google Scholar A contemporary report, typical of many, speaks of converts who were so ‘overwhelmed with the importance or the sweetness of the Great Word’ that they found themselves unable to continue their devotions: Methodist Missionary Society Notices, vi, 18291831, p. 196.Google Scholar

page 164 note 1 Thus William Flynn, a Special Magistrate in Kaffraria, said: ‘I have noticed that, generally speaking, the men who make for mission stations are, for the most part, the worst men in a tribe … there are no men of good blood, as a rule, to be found on mission stations, and I am afraid that is one of the great reasons religion is so little thought of by men of influence. ‘Cape of Good Hope: Native Laws and Customs Commission, Minutes of Evidence, G. 4–1883, para. 5, 148.Google Scholar

page 164 note 2 Correspondence regarding the Territory, Orange River, Parliamentary Papers, 1854, xliii (1758), p. 500.Google Scholar

page 164 note 3 Correspondence regarding the Colonial Churches, Parliamentary Papers, 1852, xxxii (355–1), P. 35.Google Scholar

page 165 note 1 United Brethren Periodical Accounts, xxvi, 18631865, P. 25.Google Scholar

page 165 note 2 Ibid., xvi, 1840, p. 299.

page 165 note 3 For example, see the report of a Moravian missionary in the United Brethren Periodical Accounts, xxxi, p. 45.Google Scholar

page 165 note 4 Philip, J., op. cit., p. 115.Google Scholar

page 165 note 5 Methodist Missionary Society Notices, vi, 18291831, p. 20.Google Scholar

page 166 note 1 Gray, C. (ed.), The Life of Robert Gray, London, 1876, i, pp. 456–7.Google Scholar

page 166 note 2 Cape of Good Hope: Native Laws and Customs Commission, Minutes of Evidence, G. 4–1883, Appendix B, p. 34.Google Scholar

page 166 note 3 Ibid., para. 2,025; United Presbyterian Church Missionary Records, iv, 1849, p. 29Google Scholar; Methodist Missionary Society Notices, xiii, 3rd series, 1866, p. 141.Google Scholar

page 166 note 4 Methodist Missionary Society Notices, iv, 4th series, 1872, p. 115Google Scholar; United Brethren Periodical Accounts, ii, 2nd series, 1892, p. 102.Google Scholar

page 167 note 1 South African Native Affairs Commission, 19031905, Minutes of Evidence, paras. 20, 517–20.Google Scholar

page 167 note 2 The Year BOOK of South African Missions (J. D. Taylor, ed.), Lovedale, 1928.

page 167 note 3 Methodist Missionary Society Notices, vii, 18321834, p. 307.Google Scholar

page 167 note 4 Report from a Select Committee on Aborigines, Parliamentary Papers, 1836, vii (538), p. 60.Google Scholar

page 168 note 1 Methodist Missionaxy Society Notices, vi, 18291831, p. 371.Google Scholar

page 168 note 2 Ibid., iii, 3rd series, 1856, p. 142.

page 168 note 3 Cape of Good Hope: Blue Book on Native Affairs, G. 13–1880, p. 162.Google Scholar In modern times the members of the family of a new convert in this tribe continued to dislike his acceptance of Christian teaching: Hunter, M., Reaction to Conquest, London, 1936, pp. 353–5.Google Scholar

page 168 note 4 Du Plessis, J., ‘The Missionary Situation in South Africa’, Int. Rev. Missions, i, 1912, p. 386.Google Scholar

page 168 note 5 Correspondence regarding the State of the Tribes, Kaffir, Parliamentary Papers, 1851, xxxviii (424), pp. 240502.Google Scholar

page 168 note 6 Casalis, J. E., op. cit., pp. 9091Google Scholar; Hepburn, J. D., Twenty Years in Khama's Country, London, 1895, p. 125Google Scholar; Basutoland Records, i, 1839, p. 27.

page 168 note 7 In Kaffraria the mission stations were an especial object of this distrust: see the Report from the Select Committee on Kaffir Tribes, 1851, xiv (635), para. 2,221.

page 169 note 1 For example, Methodist Missionary Society Notices, viii, 1835, pp. 187–8.Google Scholar

page 169 note 2 United Presbyterian Church Missionary Records, vii, 1852, pp. 5758Google Scholar; cf. Brown, G., Personal Adventure in South Africa, London, 1855, pp. 155–6.Google Scholar

page 169 note 3 Report from a Select Committee on Aborigines, Parliamentary Papers, vii (538), pp. 363–4Google Scholar; Report from the Select Committee on Kafir Tribes, loc. cit., paras. 1,051–2.

page 169 note 4 Report from the Select Committee on Tribes, Kaffir, loc. cit., para. 703.Google Scholar

page 169 note 5 United Brethren Periodical Accounts, xvii, 1845, p. 224.Google Scholar

page 169 note 6 Report from the Select Committee on Kaffir Tribes, loc. cit., para. 3,113.

page 169 note 7 Correspondence regarding the Establishment of the Settlement of Natal, , Parliamentary Papers, 18471848, xlii (980), p. 490Google Scholar; Correspondence regarding the State of the Tribes, Kaffir, Parliamentary Papers, 18471848, xliii (912), p. 61.Google Scholar

page 169 note 8 Correspondence regarding the Territory, Orange River, Parliamentary Papers, 1854, xliii (1758), p. 472.Google Scholar See also the comments of Theophims Shepstone on the position in Natal during this period: Natal Native Affairs Commission, 18521853, Report, Part V, p. 84.Google Scholar

page 170 note 1 Report from a Select Committee on Aborigines, Parliamentary Papers, 1837, vii (425), p. 169.Google Scholar

page 170 note 2 United Brethren Periodical Accounts, xii, 1832, p. 285.Google Scholar

page 170 note 3 Methodist Missionary Society Notices, iv, 3rd series, 1816, pp. 2324.Google Scholar

page 171 note 1 A report by the Rev. H. T. Walters quoted by Cotterill, H. (the Bishop of Grahamstown), On Polygamy amongst Candidates for baptism, Grahamstown, 1861, p. 50.Google Scholar

page 171 note 2 United Brethren Periodical Accounts, xxvii, 1867, p. 86.Google Scholar

page 171 note 3 Methodist Missionary Society Notices, i, 3rd series, 1853, p. 11.Google Scholar

page 172 note 1 Cape of Good Hope: Commission on Native Laws and Customs, G. 4–1883, Minutes of Evidence, Appendix B, p. 34.

page 172 note 2 Ibid., paras. 1,637–8.

page 172 note 3 Ibid., paras. 1,665–6.

page 172 note 4 Ibid., paras. 1,603–8.

page 172 note 5 Smith, T., Memorials, London, 1848, p. 31.Google Scholar

page 173 note 1 South African Native Affairs Commission, 1903–5, Minutes of Evidence, paras. 4,359–60.

page 173 note 2 Ibid., Appendix D, p. 39.

page 173 note 3 Report from a Select Committee on Aborigines, Parliamentary Papers, 1837, vii (425), p. 169.Google Scholar

page 173 note 4 United Brethren Periodical Accounts, xiv, 1838, p. 330.Google Scholar Compare the comment made at a later period in the South African Native Affairs Commission Report, 1905, para. 276.Google Scholar

page 174 note 1 Hepburn, J. D., op. cit., p. 125.Google Scholar

page 173 note 2 Chalmers, J. A., Tiya Soga: a page of Mission Work, London, 1878, p. 54.Google Scholar

page 173 note 3 United Brethren Periodical Accounts, xxix, 1875, pp. 2223.Google Scholar

page 173 note 4 Natal Departmental Reports, 1894–5, B. 10.