Published online by Cambridge University Press: 27 July 2012
Galls of Diplolepis variabilis (Bassett) (Hymenoptera:Cynipidae) on their host plant Rosa woodsii Lindley(Rosaceae) support a diverse community of parasitoid and inquiline waspsthat exploit the gall inducer and the gall itself. Here, we studiedquantitative variation in local structure of the gall community in theOkanagan Valley of southern British Columbia, Canada, from the United Statesborder north, to test the hypothesis that dispersal limitation wouldgenerate a distance decay in gall community similarity. We also exploredgall community richness in relation to latitude, as the northern range limitof the gall inducer occurs within our study area. We found that gallcommunities exhibited strikingly similar composition across the studyregion, with most of the major inquilines and parasitoids present across thegall's range. However, the increased richness of rare parasitoid taxa nearthe northern range limits of D. variabilis generated amarginally significant positive relationship between gall community richnessand latitude. Overall, our study suggests that dispersal constraints do notinfluence the composition of the Diplolepis Geoffroy gallcommunity at regional scales, and that gall communities offer useful modelsfor studying the association between community structure and rangelimits.
Les galles de Diplolepis variabilis (Bassett) (Hymenoptera:Cynipidae) sur leur hôte Rosa woodsi Lindley (Rosaceae)contiennent une communauté diverse de guêpes parasitoïdes et inquilines quiexploitent l'insecte galligène et la galle elle-même. Nous étudions lavariation quantitative de la structure locale de la communauté des gallesdans la vallée de l'Okanagan du sud de la Colombie-Britannique, à partir dela frontière des États-Unis vers le nord, afin de tester l'hypothèse selonlaquelle la restriction de la dispersion crée un déclin de la similaritéentre les communautés des galles en fonction de la distance. Nous examinonsaussi la richesse des communautés des galles en fonction de la latitude,parce que la limite nord de l'aire de répartition de l'insecte galligène setrouve dans notre région d’étude. Les communautés des galles présentent descompositions remarquablement semblables dans toute la région d’étude et laplupart des inquilins et des parasites importants sont présents sur toutel'aire de répartition de la galle. Cependant, la richesse accrue de taxonsrares de parasitoïdes près des limites nordiques de l'aire de répartition de D. variabilis produit une relation positivesignificative entre la richesse de la communauté des galles et la latitude.Globalement, notre étude indique que les contraintes à la dispersionn'influencent pas la composition de la communauté des galles de Diplolepis Geoffroy aux échelles régionales et que lescommunautés des galles représentent des modèles utiles pour l’étude desassociations entre la structure des communautés et les limites des aires derépartition.