Published online by Cambridge University Press: 05 February 2009
page 384 note 1 C'est le cas en Hébr. v. 1–10 ou viii. 1–ix. 28. On nous permettra de renvoyer pour ces textes à notre étude: La Structure littéraire de l'épître aux Hébreux (Desclée De Brouwer, 1963), pp. 108–11Google Scholar, 140, 146, 149. Autres exemples en Lund, N. W., Chiasmus in the New Testament (Chapel Hill, 1942).Google Scholar
page 385 note 1 Op. cit. p. 41.Google Scholar
page 385 note 2 La Struct. littér. pp. 95–8, 152.Google Scholar
page 386 note 1 L'emploi du verbe ‘donner’ en i. 77 peut provoquer une certain hésitation. On serait tenté de le considérer comme symétrique du ‘donner’ de i. 74. En réalité, le second ‘donner’ n'est pas parallèle au premier: d'une part, il n'a pas Dieu pour sujet, mais le prophète, et d'autre part, il se fond dans l'expression ‘donner connaissance’ qui définit le rôle limité du prophète. Seul, Dieu ‘donne’ le salut; le prophète ne fait que l'annoncer.